C’est parti pour ces rencontres CODERS, qui ne sont ni des compétitions (il ne faut pas dire de gros mots à la Retraite Sportive), ni des challenges, mais des rencontres dans lesquelles personne n’est là pour gagner et chacun fait de son mieux pour ne pas perdre. Vendredi 19 avril, soixante et un archères et archers avaient rendez-vous au DONJON, où Jacky BAYON et son équipe les attendaient. La chaleur de l’accueil compensait largement une température un peu basse du gymnase.
Et les moulinois dans tout ça ? Quatre archers représentaient le club, encadrés par deux coachs, trois se présentaient en arc classique (viseur, stabilisateurs … la Mercedes du tir à l‘arc) et un en arc nu (on écrit barebow, on entend barbo, on se débrouille sans accessoires de visée … la Twingo du tir à l’arc.) Malgré la diplomatie d’Alain CAUCHY, notre dame confirmée et nos dames en devenir avaient décliné l’offre.
L’évènement n’était pas dans leurs résultats, mais dans leur tenue. Les teeshirts, pourtant inusables mais blanc, n’ayant jamais obtenu le succès escompté, notre président vient de nous doter de superbes polos fuchsia. C’était leur première sortie, merci Président.
Rencontre tennis de table
Ils (et elles) sont venus, ils sont tous là (ou presque) ce mardi 23 avril, depuis Ainay-le Château, Bellerive, Ebreuil, Huriel, Moulins, Vendat, pour s’affronter avec toute la courtoise combattivité qui doit présider à ces rencontres annuelles ou simplement pour supporter leurs équipes. C’est le moment de retrouver des amis et de progresser avec de nouveaux partenaires, car comme on dit, en club on finit par se connaître par cœur.
Le matin 71 pongistes dont 20 dames répartis en 13 poules se sont affrontés en simples et l’après-midi 40 ont remis ça en 9 poules de doubles et doubles mixtes. Une organisation certes compliquée car l’objectif est de matcher autant que possible entre joueurs de même niveau. Nous reconnaissons que ce nivellement a quelque peu perturbé notre planning : jamais dans ces rencontres nous n’avions vu des matches aussi serrés, deux joueurs ont même dû dépasser les 20 points pour parvenir à la fatidique différence de 2.
On ne commencera pas avant la photo de groupe
Quelques images de la rencontre.
Notre président arbore à son tour la nouvelle tenue du club.
Fuchsia n’est pas rose, l’un aurait-il copié sur l’autre ? L’histoire ne le dit pas.
Il ne s’agissait pas d’une compétition ; les résultats, quand même toujours très attendus, ont été communiqués aux présidents des clubs participants. No comment, sinon les coups de chapeau au vainqueur du simple hommes forts poule 2 qui court vers ses 87 ans et à l’équipe d’Huriel qui non seulement s’illustre en individuel mais se voit de plus remettre la coupe attribuée au club le mieux représenté.
Rencontre pétanque
Après un passage en 2023 par Ebreuil, nous sommes de retour à Montluçon, sur le célèbre boulodrome Christian FAZZINO, où nous attendent tous les bénévoles des clubs organisateurs, Lavault-Sainte-Anne et Huriel, qui ont préparé de main de maître cette rencontre. Car il fallait gérer l’accueil de soixante-six triplettes, et de leurs supporters soit plus de deux cents personnes.
Notre club alignait sept triplettes (pas mal, mais une fois de plus au vu de la participation d’autres clubs nous dirons pourrait mieux faire), cinq issues de l’activité pétanque, les deux autres du comité directeur avec renforts.
Le règlement est simple, une femme au moins doit figurer dans chaque triplette et c’est la capitaine du jour. Il s’agit avant tout de s’amuser, même s’il arrive de tomber sur des triplettes à deux bombardiers, le brassage effectué amène aussi à partager un bon moment avec des joueurs moins aguerris.
Ce n’est pas une compétition, mais il y a quand même un podium, la plus haute marche du podium est occupée par les triplettes moulinoises de Liliane B. et Catherine M. qui n’ont pas pu se départager, terminant à égalité de victoires et de points. Pas mal du tout ! La suite en images.
Au passage avez-vous remarqué que le CODERS s’est offert un nouveau logo, conçu par Lisa, jeune graphiste locale, dont le talent n’égale que l’imagination.